Quelle est la date limite pour la réception des annonces ?
Dans nos églises, la problématique de la réception et la diffusion des communications est une épineuse question qui oppose souvent les chefs de département ou parfois même, le corps pastoral, aux officiers dudit département. Qu’en est-il en réalité ?
Le mois d’octobre marque pour plusieurs congrégations, le début d’une nouvelle année ecclésiale. Pour les chefs de département, c’est l’heure des grandes dispositions. La plupart des directeurs de communication élaborent leurs priorités, et du nombre, la date butoir pour la soumission des annonces.
Il faut dire que c’est une mesure pas du tout facile à respecter, tant nous [responsables, membres…] sommes absorbés par la dictature du quotidien. Il arrive souvent que ce n’est que le vendredi soir ou même le samedi matin que l’on se rend à l’évidence d’une communication à faire passer et qui relève du coup de l’urgence.
Certains directeurs de communication fixent au jeudi (parfois mercredi), la date limite pour recevoir toutes les annonces. Tout en étant conscient que d’ici là à samedi, tout est susceptible d’évoluer (en Haïti surtout), cette mesure est avant tout une démarche qui invite les officiers à une planification responsable des activités de leur département.
Toutefois, malgré les récurrentes mesures et rappels, on se retrouvera toujours un samedi matin avec un membre, un officier ou même parfois un ancien avec une communication d’urgence à faire passer. Certains dircoms sont intransigeants. D’autres plus flexibles. La réalité varie d’une église à une autre.
Si aujourd’hui le procédé est rendu pratique grâce à la technologie — puisqu’au lieu de déposer un bout de papier dans une boîte en un lieu donné, un simple texte WhatsApp fait bien l’affaire —, il faut avouer que le processus de rédaction requiert du temps : réception, vérification de l’agenda de l’église, conformité des contenus, corrections… entre autres.
De toute évidence, les communications font partie du quotidien de l’église. Il est important pour les responsables de communication de se rappeler que le rôle de ce département est avant tout un rôle de facilitation des échanges à l’externe comme à l’interne. Au regard de ce dernier point, il conviendra en tout temps d’être tempérants, coopératifs et de chercher ensemble la solution appropriée tout en instaurant la pratique.
Pour l’heure, nous ne sommes pas en connaissance d’un principe arrêté sur cette question. Toutefois, comme relaté dans le Manuel d’église : « Le responsable des communications doit être une personne aimant les contacts humains, apte à représenter correctement l’Église, dotée d’une bonne capacité de jugement ». (Manuel d’Eglise, p. 122).
Quelle est la réalité de votre église ? Précisez-nous dans un commentaire !
Dans mon église on arrive pas vraiment à épuiser toutes les annonces, il y a toujours une annonce à la dernière minute d’un responsable ou dirigeant le samedi matin où a quelque heures avant la présentation du bulletin d’annonce.
Dès fois malgré qu’on fixe un jour exact pour la réception des annonces, on ne les reçoivent pas toutes. Et le sabbat matin si vous n’êtes pas flexible dès fois on peut même arriver à ignorer l’annonce qui vient d’être apparue où qui devrait être donnée plus tôt.
Donc c’est un défi que les responsables du département des communications cherche à appréhender pour que toutes personnes ou différents départements puissent sortir gagnants gagnants, afin d’éviter les insatisfactions.
Mais de nos jours la technologie nous aide aussi, on utilise le groupe whatsap avec les concernés afin de faciliter l’échange des annonces, malgré cela il y a aussi quelques inconvénients pour que les annonces puissent arrivées à temps tels que: ( l’utilisateur n’a pas de charge, de minutes ou problème de portable… 🙂 )
Mais l’utilisation des réseaux sociaux nous aide aussi également.
C’est un sujet palpitant d’intérêt que Alelouya a soulevé sur ce plateforme qui demande vraiment votre avis…
Bon travail, et bon courage, Dieu vous bénisse!