Les deux sceaux de Dieu : Le sceau de l’Évangile et le sceau apocalyptique
Par Jiří Moskala, ThD
Les érudits reconnaissent la signification apocalyptique du sceau dans Apocalypse 7. Mais qu’en est-il de « l’autre sceau » ? Cette perspective paulinienne est un impératif absolu pour les prédicateurs de l’eschaton.
La Bible parle de deux sceaux de Dieu. Les Éphésiens nous informent du premier, et le livre de l’Apocalypse parle du second. Alors que le second est familier aux adventistes du septième jour dans le cadre de leur compréhension des événements de la fin des temps menant à la seconde venue de Christ, le premier peut ne pas être aussi familier.
Donnés à des moments différents, ces deux sceaux sont différents, mais complémentaires. Seuls ceux qui reçoivent le premier sceau recevront le second. Le premier sceau indique maintenant notre caution rédemptrice : il est reçu au début de notre voyage spirituel lorsque nous acceptons Jésus comme notre Seigneur et Sauveur. La seconde est notre assurance eschatologique : elle joue son rôle à la toute fin du temps, juste avant la fin de la probation. Les deux sont importants, et une étude des deux apportera à notre marche chrétienne une nouvelle dimension, une nouvelle perspective, un engagement renouvelé et une joie profonde.
LE PREMIER SCEAU: LE SCEAU DE L’EVANGILE
Éphésiens parle deux fois du premier sceau. La première mention est Éphésiens 1:13, 14: « En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés [grec: esphragisthēte][1] du Saint Esprit qui avait été promis, lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux que Dieu s’est acquis, à la louange de sa gloire ». Paul déclare qu’au moment où l’on s’abandonne à Jésus et l’accepte comme Sauveur, le Saint-Esprit scelle ce croyant en Christ pour le jour de la rédemption. Ainsi, l’Esprit de Dieu marque les disciples de Christ avec le sceau du salut lorsqu’ils croient pour la première fois. J’appelle cela « le sceau de l’Évangile ».
La séquence de pensées dans le passage d’Ephésiens doit être notée: (1) nous avons entendu la Parole de vérité, l’évangile du salut; (2) nous avons cru en Jésus-Christ; (3) nous avons été scellés par le Saint-Esprit; et (4) le Saint-Esprit nous est donné comme garant (Grec: arrabon, Eph. 1:14; 2 Cor. 1:22) ou comme premier fruit (Grec: aparchē, Rom. 8.23, 24). Le « sceau » se réfère ici à cet acte divin par lequel le Saint-Esprit devient le gage et le garant de notre salut-rédemption. Ainsi, le Saint-Esprit garantit notre héritage. Il garantit notre rédemption tant que nous restons fidèles à notre appel jusqu’à la fin des temps, lorsque nous serons la possession de Dieu dans son intégralité, et que nous aurons une relation parfaite avec Dieu face à face[2].
Le don de l’Esprit est comme un acompte de l’héritage que nous avons en Dieu. Cette première récompense garantit un paiement futur complet. L’Esprit est la première tranche de notre salut; Il est également notre assurance que l’héritage et le salut futurs complets seront délivrés. Le salut ne dépend pas de nos réalisations, performances ou actions; car ceci est l’œuvre de Dieu de manière complète et unique. Le mot grec arrabōn signifie « dépôt, gage, garantie de ce qui va arriver ». Le mot est également utilisé dans 2 Corinthiens 1.22, où le scellement et la garantie sont réunis, et dans 2 Corinthiens 5.5, où toute cette activité est attribuée à Dieu, qui « nous a donné l’Esprit comme gage, garantissant ce qui est à venir. »
Cela nous amène au deuxième passage sur le premier sceau de Dieu. Ici, Paul met en garde les croyants sur leur relation avec le Saint-Esprit : « Et n’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, avec qui vous avez été scellés [Grec: esphragisthēte] pour le jour de la rédemption » (Éphésiens 4:30)[3]. L’expression grecque ne se produit que deux fois dans le Nouveau Testament, ici et dans Ephésiens 1.13 – et toujours en relation avec la croyance en Christ. Notez que dans la vie d’un croyant, l’affirmation de Paul du scellement par le Saint-Esprit, dans les deux textes, est un événement passé : « vous avez été scellés ». Les croyants en Christ sont scellés par le Saint-Esprit pour l’événement eschatologique de la rédemption totale.
Paul exhorte les chrétiens à maintenir un comportement éthique approprié dans la mesure où une vie obéissante est un flux naturel d’une foi vivante. Le scellement est le don de Dieu : sa réponse à notre réponse à son amour et à son abandon. Les croyants ont déjà le Saint-Esprit, et pour cette raison, ils ne devraient pas le décevoir et l’attrister par de mauvaises actions et une mauvaise conduite : « Que toute amertume, toute fureur, toute colère, tout éclat de voix, toute calomnie et toute forme de méchanceté disparaissent du milieu de vous ». « Que l’immoralité sexuelle, l’impureté sous toutes ses formes ou la soif de posséder ne soient même pas mentionnées parmi vous, comme il convient à des saints. » (Éphésiens 4.31; 5.3). Ils devraient être des « imitateurs de Dieu », suivant son exemple « comme des enfants bien-aimés », et marcher avec amour (Éphésiens 5.1, 2).
L’avertissement de Paul aux croyants de ne pas « attrister le Saint-Esprit de Dieu » (Éphésiens 4.30) est un appel direct : n’agissez pas comme le peuple de Dieu dans le passé (voir l’appel presqu’identique d’Ésaïe dans Ésaïe 63.10). Nous avons le Saint-Esprit et devons rester dans une bonne relation avec Lui, en accomplissant la volonté de Dieu. Pourquoi vivre contrairement à Celui dont nous portons le sceau de propriété ? Pourquoi mettre notre destinée éternelle en danger ?
Le scellement a plusieurs significations, dont trois sont à noter: (1) un signe ou une preuve d’authenticité ; (2) un signe de propriété ; et (3) un signe d’approbation. En scellant, Dieu proclame que nous lui appartenons ; nous sommes les siens ; Il approuve et accepte notre foi afin que nous puissions grandir en Lui ; et Il nous aidera à vivre une vie authentique d’amour, de foi et d’espérance (2 Corinthiens 13.14; 2 Pierre 3.18). Toutes ces nuances sont pertinentes pour que Dieu scelle ceux qui croient en lui. En tant que signe de propriété, le scellement indique l’appartenance à un produit, ainsi que son approbation. Cela donne un sentiment de validité et d’authenticité : « Or, celui qui nous affermit avec vous en Christ et qui nous a consacrés par son onction, c’est Dieu ; il nous a aussi marqués de son empreinte et a mis l’Esprit comme un gage dans notre cœur » (2 Corinthiens 1.21, 22). « Et celui qui nous a préparés pour cela, c’est Dieu, qui nous a donné le gage de l’Esprit » (2 Corinthiens 5.5). La possession est considérée comme la possession de Dieu de son peuple, et non de sa possession du salut (Éphésiens 1.14; voir aussi Malachie 3.17).
Le « vous » dans Éphésiens 1.13 et 2.11 fait référence aux croyants en Christ. Par leur union avec Christ, ils lui appartiennent et le Saint-Esprit met son sceau sur eux afin d’affirmer la nouvelle relation. Il n’y a pas d’incertitude quant au salut car le Saint-Esprit est le garant de cette expérience (cf. Jean 5.24 et Éphésiens 2.4-10). Ayant cru, ils sont scellés par l’Esprit pour le jour de la rédemption. Il est significatif que le scellement par l’Esprit soit mentionné dans les deux parties d’Ephésiens. Dans la première partie (chapitres 1 à 3), qui est plus doctrinale, Paul présente l’indicatif de l’Évangile, ou racine de notre salut, et nous rappelle notre appel et la richesse de la grâce de Dieu. Dans la deuxième partie (chapitres 4 à 6), Paul décrit les conséquences et les exigences d’une vie sauvée, à savoir l’impératif de l’Évangile et le comportement éthique, exhortant les disciples du Christ à vivre d’une manière appropriée à leur appel.
Aucun de nous ne peut se sceller. Le scellement est pour nous l’action de Dieu dans laquelle il n’y a pas de « mais » ou de « peut-être ». En restant en Christ, nous avons cette assurance de salut.
LE SECOND SCEAU : LE SCEAU APOCALYPTIQUE
Le deuxième sceau de Dieu est décrit dans le livre de l’Apocalypse. Ce sceau n’est pas en contradiction avec le premier mais est un sceau placé sur le peuple racheté de Dieu en signe de son appartenance à Dieu. Ils vivent à la fin des temps juste avant la fin de la probation. Le but de ce deuxième sceau ne se concentre pas sur le salut ou la rédemption mais exprime la justification et la protection rédemptrice ultime. Si le premier est le sceau de l’Évangile, le second peut être appelé le sceau eschatologique ou apocalyptique.
Ce sceau apocalyptique (grec: sphragis) est mentionné dans l’Apocalypse, où les fidèles disciples de Dieu le reçoivent vers la fin des temps afin de pouvoir passer par les derniers événements et être protégés des sept derniers fléaux (Apocalypse 7.2, 3 ; 9.4 ; 14.9). Ce sceau de Dieu contraste avec la marque (grec : charagma) de la bête. Le monde est averti de ne pas recevoir la marque de la bête (Apocalypse13.16, 17 ; 14.9, 11 ; 16.2 ; 19.20 ; 20.4), car la marque est un symbole placé sur ceux qui ont rejeté la grâce salvatrice de Christ et jeté leur allégeance du côté de Satan.
Dans le livre de l’Apocalypse, ceux qui ont le sceau de Dieu sur leur front sont protégés de l’effusion de la colère de Dieu, et ils pourront se tenir en ce grand jour (Apocalypse 6.17 ; 7.3). Le sceau de Dieu protège le peuple de Dieu au moment de l’effusion du jugement divin de condamnation. Par conséquent, ce n’est pas par hasard que les messages des trois anges se terminent avec l’assurance de l’Esprit au peuple de Dieu : « Oui, dit l’Esprit, ainsi ils se reposent de leurs travaux, mais leurs œuvres les suivent. » (Apocalypse 14.13b). Ces fidèles sont l’héritage de Dieu, reposant dans le Seigneur jusqu’au jour de la rédemption. Le salut n’a jamais été une entreprise anthropocentrique mais théocentrique. Nous ne pouvons pas le prendre en main. Nous ne possédons pas le salut ; il nous vient comme un don préparé par Dieu que nous ne pouvons qu’accepter ou rejeter. Dieu nous possède – nous lui appartenons. Il faut rester « en Christ », comme dirait Paul[4]. Christ est le garant de notre scellement, parce qu’il a reçu un sceau d’approbation sur son œuvre de salut en notre nom quand il a vécu sur terre. « […] c’est lui [Christ] que le Père, Dieu lui-même, a marqué de son empreinte » (Jean 6.27).
COMPARAISON DE DEUX SCEAUX
Pour résumer, tant dans le sceau de l’Évangile que dans le sceau apocalyptique, le travail de scellement est effectué par le Saint-Esprit. Le premier, le sceau de l’Évangile, est placé sur tous ceux qui acceptent Jésus comme leur Sauveur, et il est placé au moment où ils L’acceptent (2 Corinthiens 1.22 ; Éphésiens 1.13 ; 4.30; 2 Timothée 2.19). Le second, le sceau apocalyptique, est placé sur ceux qui ont reçu le premier sceau et qui sont vivants et fidèles à leur appel pendant les jours apocalyptiques qui viennent juste avant le retour de Jésus pour la deuxième fois (Apocalypse 7.3, 4, 14– 17). Le premier est un sceau de salut, déclarant qu’une personne est sauvée par le Christ et fait partie de la famille de Dieu, ce statut restant tant que la personne reste fidèle au Christ. Le second est un sceau de protection qui protège les fidèles pendant la période de persécution qui survient dans la période apocalyptique. L’un est un sceau d’acceptation et l’autre est un sceau de confirmation finale. Le premier sceau est la déclaration initiale qu’une personne appartient au Christ et est placé au moment où cette personne accepte Jésus. La seconde confirme la fidélité à suivre l’Agneau et le leadership de Dieu dans leur vie, à faire sa volonté, à garder ses commandements et à vivre selon sa Parole révélée pendant les dernières heures de la terre (Apocalypse 7.14-17 ; 12.17 ; 13.10 ; 14.4, 5, 12 ; 17.14 ; 19.10). Le premier sceau est placé au moment de l’acceptation du Christ comme Sauveur, et les rachetés le conservent tant qu’ils restent fidèles à leur appel. Le deuxième sceau est apposé sur ceux qui ont reçu le premier sceau et vivent pendant les jours apocalyptiques, fidèles à leur appel. Bien que le sceau de l’Évangile puisse être brisé en s’éloignant de la foi, le sceau apocalyptique est permanent.
HEURE DE RECEVOIR LE SCEAU APOCALYPTIQUE
Alors que l’histoire du monde tire à sa fin, à cette époque de la fin, il y aura des circonstances si pressantes que les gens devront décider de quel côté ils se tiennent – avec Dieu ou avec les forces du mal représentées dans le livre de l’Apocalypse comme le dragon, la bête de mer, la bête de la terre, l’image de la bête et le faux prophète (voir Apocalypse 13–18). Le livre de l’Apocalypse mentionne que pendant cette période de la fin, Dieu apposera son sceau apocalyptique sur son peuple (Apocalypse 7.1-4).
Sur la base d’un enseignement biblique, soutenu par les écrits d’Ellen G. White, on peut affirmer que le sceau apocalyptique n’est donné qu’aux fidèles disciples de Dieu après la dernière crise mondiale, immédiatement avant la fin de la probation. À cette époque, l’image de la bête s’élève également avec ses exigences énergiques. Ellen White dit : « L’image de la bête se formera avant la fin de la probation; car ce sera la grande épreuve pour le peuple de Dieu, par laquelle se décidera sa destinée éternelle. . . .
« C’est le test que le peuple de Dieu doit avoir avant d’être scellé. Tous ceux qui prouveront leur fidélité à Dieu en observant sa loi et en refusant d’accepter un faux sabbat se classeront sous la bannière du Seigneur Dieu Jéhovah et recevront le sceau du Dieu vivant. Ceux qui rapportent la vérité d’origine céleste et acceptent le sabbat du dimanche recevront la marque de la bête[5] ». Elle déclare en outre quand la marque de la bête sera reçue : « Personne n’a encore reçu la marque de la bête. Le temps des tests n’est pas encore venu. Il y a de vrais chrétiens dans chaque église… Personne n’est condamné tant qu’il n’a pas eu la lumière et n’a pas vu l’obligation du quatrième commandement. Mais lorsque le décret rendra exécutoire le sabbat contrefait, et que le grand cri du troisième ange mettra en garde les hommes contre le culte de la bête et son image, la ligne sera clairement tracée entre le faux et le vrai. Ceux qui continueront de transgresser recevront alors la marque de la bête.
« Avec des étapes rapides, nous approchons de cette période. Lorsque les églises protestantes s’uniront au pouvoir séculier pour soutenir une fausse religion, pour s’opposer à ce que leurs ancêtres subissent la persécution la plus féroce, alors le sabbat papal sera appliqué par l’autorité combinée de l’église et de l’État. Il y aura une apostasie nationale, qui ne se terminera qu’en ruine nationale[6]. »
Ellen White déclare en outre : « L’observation du dimanche n’est pas encore la marque de la bête, et ne le sera pas tant que le décret ne sera pas rendu obligeant les hommes à adorer ce sabbat d’idole. Le temps viendra où ce jour sera l’épreuve, mais ce moment n’est pas encore venu[7]. »
Encore une fois, quand le scellement eschatologique aura-t-il lieu ? Sur la base des écrits d’Ellen White, nous pouvons affirmer ce qui suit : (1) Le scellement n’aura lieu qu’après que le protestantisme apostat s’unira au catholicisme pour imposer l’observance du dimanche ; (2) la loi du dimanche entrera en vigueur et agira comme un catalyseur pour amener les gens à choisir entre la loi de Dieu ou les exigences humaines, à prendre leur décision finale pour ou contre Dieu, sa loi et son peuple ; et (3) alors seulement le temps du sceau de Dieu et de la marque de la bête commencera.
Le scellement apocalyptique ne commencera donc qu’après la promulgation de la loi du dimanche. La controverse finale Sabbat-Dimanche distinguera ceux qui sont fidèles de ceux qui choisissent de jeter leur sort avec Satan. Ellen White a raison: «Le sabbat sera le grand test de fidélité. . . . Lorsque l’épreuve finale sera appliquée aux hommes, alors la distinction sera établie entre ceux qui servent Dieu et ceux qui ne le servent pas. Alors que l’observance du faux sabbat conformément à la loi de l’État, contrairement au quatrième commandement, sera un aveu d’allégeance à un pouvoir qui est en opposition avec Dieu, l’observance du vrai sabbat, en obéissance à la loi de Dieu, est une preuve de loyauté envers le Créateur. Alors qu’une classe, en acceptant le signe de la soumission aux pouvoirs terrestres, reçoit la marque de la bête, l’autre choisissant le gage d’allégeance à l’autorité divine, reçoit le sceau de Dieu[8]. »
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Jiří Moskala, ThD, est professeur d’exégèse et de théologie de l’Ancien Testament et doyen du séminaire théologique adventiste du septième jour, Université Andrews, Berrien Springs, Michigan, États-Unis.
Source : Ministry Magazine
[1] Esphragisthēte est un verbe indicatif aoriste passif deuxième personne du pluriel, ce qui signifie, « vous avez été scellé » ou « marqué » (du verbe grec sphragizō, « sceller, sécuriser avec un sceau, marquer avec un sceau, mis à part par un sceau, apposer pour être vrai, reconnu, prouvé ») et parle d’une communauté de foi, des croyants en Jésus-Christ.
[2] La présence du Saint-Esprit dans la vie des croyants n’est pas seulement une preuve de leur salut actuel en Christ, mais aussi un gage et un garant de leur héritage futur et de l’acompte de cet héritage. Paul parle également d’avoir les prémices de l’Esprit : « Non seulement cela, mais nous-mêmes, qui avons les prémices de l’Esprit, gémissons intérieurement alors que nous attendons avec impatience notre adoption en tant que fils, la rédemption de notre corps. Car dans cet espoir nous avons été sauvés. Mais l’espoir que l’on voit n’est pas du tout un espoir. Qui espère ce qu’il a déjà? » (Romains 8:23, 24).
[3] Éphésiens 4:30 fait partie d’une série d’exhortations. La référence au « jour de la rédemption » est l’emphase unique de Paul dans les Éphésiens, et son contexte indique la seconde venue du Christ (voir 1.14).
[4] « En Christ’, avec ses 164 occurrences, dont 36 en Éphésiens, est beaucoup plus probablement le motif central, ou du moins un motif central’ chez Paul.» Klyne Snodgrass, The NIV Application Commentary: Ephesians (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1996), 57 ; souligné dans l’original.
[5] Ellen G. White, Seventh-day Adventist Bible Commentary, ed. Francis D. Nichol, vol. 7 (Washington, DC: Review and Herald Pub. Assn., 1957), 976, non souligné dans l’original.
[6] Ellen G. White, Evangelism (Washington, DC: Review and Herald Pub. Assn., 1946), 234, 235.
[7] Ellen G. White, The Seventh-day Adventist Bible Commentary, vol. 7, 977.
[8] Ellen G. White, The Great Controversy (Mountain View, CA: Pacific Press Pub. Assn., 1911), 605.